+ CoPO
+ sachant prioriser et recetter l'accessibilité
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+ Référent accessibilité
+ pilote l'application de la politique d'accessibilité
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+ Rédacteurs
+ formés à la production accessible de contenus
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+ Expert RGAA
+ (si nécessaire) pour vérifier la conformité
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Stack Technique
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+ Le HTML structure et porte l'information d'une page web. Il est nativement accessible à condition d'utiliser les
+ balises en respectant leurs valeurs sémantiques. Exemple : <div> et <span> n'ont pas de valeur sémantique,
+ elles servent à mettre en forme et grouper des éléments.
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+ Chaque composant HTML apporte par défaut des comportements facilitant l'interaction avec l'application.
+ Sans coût supplémentaire, il devient alors plus facile et moins frustrant de naviguer sur l'application.
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+ Exemple : Utiliser une balise <a> pour un lien permet à l'utilisateur·rice de savoir si iel l'a déjà visité.
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+ Le CSS permet de mettre en forme l'information déjà présente sur la page via le HTML.
+ Si une information est portée seulement par le CSS, on risque de ne pas la rendre accessible à tous
+ les utilisateur·ices.
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+ Le JavaScript régit les interactions complexes (cartes interactives, notifications…).
+ Dans la plupart des cas, il ne sera pas nécessaire.
+ Il permet de coder des composants au-delà de ce qui est proposé par le HTML.
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+ ARIA (Accessible Rich Internet Applications) ; un ensemble d'attributs pour enrichir le HTML pour :
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expliciter les liens entre éléments de la page, par exemple : lier une image à sa description
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expliciter l'état d'un élément, par exemple : un onglet actif.
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+ Il permet de donner plus d'informations aux technologies d'assistance (lecteur d'écran…).
+ À utiliser avec parcimonie : pas d'attribut ARIA vaut mieux qu'un attribut ARIA mal renseigné.
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